À 79 ans, le président américain présente un trouble circulatoire sans gravité selon ses médecins, mais cette annonce relance les interrogations sur sa condition physique.
Un diagnostic discret, mais surveillé
Le 17 juillet, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a révélé que le président Donald Trump est atteint d’une insuffisance veineuse, à la suite de gonflements légers observés dans le bas de ses jambes. L’annonce a été faite lors d’un briefing, appuyée par une note médicale officielle.
Présentée comme une « affection bénigne et courante » chez les plus de 70 ans, cette condition serait sans impact immédiat sur les capacités du président, assure son entourage.
Symptômes cutanés et traitement classique
Des traces d’ecchymoses sur une main de Trump ont aussi été signalées, mais expliquées par des poignées de main fréquentes et un traitement à base d’aspirine, intégré à une routine de prévention cardio-vasculaire.
L’équipe médicale évoque une irritation mineure, sans lien avec un trouble plus sérieux.
Une santé qui interpelle à 79 ans
Devenu en janvier 2025 le président le plus âgé à entrer en fonction, Trump continue d’imposer un rythme de travail intense, entre voyages, discours et rencontres publiques. Cette énergie affichée contraste avec les signes physiques désormais scrutés.
La santé présidentielle, sujet traditionnellement sensible aux États-Unis, fait l’objet d’une communication maîtrisée, à mi-chemin entre transparence et contrôle d’image.
Transparence médicale ou stratégie politique ?
L’insuffisance veineuse dont souffre Donald Trump n’inspire pas d’inquiétude immédiate, mais elle souligne une réalité incontournable : le poids de l’âge au sommet du pouvoir. Si la Maison Blanche tente de banaliser le diagnostic, cette annonce pose une question essentielle à l’approche de 2028 : le président pourra-t-il maintenir ce rythme sans accroc ?
Brinia ELMINIS

























































































































