
Le Groupe d’appui aux rapatriés et réfugiés (GARR) demande une enquête approfondie après la mort tragique de Stephora Anne-Mircie Joseph, 11 ans, survenue le 14 novembre 2025 en République dominicaine, lors d’une excursion scolaire. L’organisation appelle à la transparence et à la justice pour la famille, dénonçant une possible négligence de l’école et du site d’accueil.
La fillette, élève de l’Institut Leonardo Da Vinci à Santiago, participait à une sortie scolaire dans un ranch privé de Gurabo lorsqu’elle a été victime d’un incident tragique, survenu notamment près de la piscine de l’établissement. Selon les informations disponibles, sa mère, Lovelie Joseph, n’a reçu que peu d’explications de la part des responsables de l’école, ce qui alimente frustration et incompréhension.
Par conséquent, le GARR insiste sur la nécessité d’une enquête rigoureuse et transparente, afin d’établir clairement les circonstances de ce décès. L’organisation souligne que la famille a droit à des réponses précises et que toute négligence de l’établissement ne doit pas rester impunie.
En outre, cette affaire s’inscrit dans un contexte régional sensible, où les questions de protection des enfants haïtiens et d’accès à la justice sont régulièrement soulevées. Le GARR rappelle que la sécurité et le bien-être des mineurs ne doivent jamais être compromis, même lors d’activités éducatives ou récréatives à l’étranger.
Ainsi, l’appel de l’organisation vise non seulement à soutenir la famille de Stephora, mais aussi à prévenir de futurs incidents similaires et à renforcer les mécanismes de protection des enfants haïtiens dans la région.
La mort de Stephora Anne-Mircie Joseph a provoqué une vive émotion et met en lumière la nécessité d’une vigilance accrue dans la protection des enfants. Le GARR exhorte les autorités et l’établissement scolaire à agir rapidement, garantir la transparence et assurer que justice soit rendue. Pour la famille et pour la société, cette affaire dépasse le cadre d’un simple accident : elle interpelle sur le respect des droits fondamentaux des enfants haïtiens, où qu’ils se trouvent.
Carina PETIT-HOMME


























































































































































































































































































































